Aquarelle. Reproduction
Avant que j'aie pu dire
tout ce que je voulais te tendre,
Dans un premier soupir,
Nous a souri Léandre.
Avant que j'aie pu dire
tout ce que je voulais te tendre,
Dans un premier soupir,
Nous a souri Léandre.
Artiste, poète, je goûte, touche, regarde, écoute et renifle alentour pour vous offrir en partage mon amour pour l'art insolite, la langue française, la Langue des Signes, et ensemble avoir les yeux qui brillent tels des charbons dans l'estomac noué de notre pâmoison.
vendredi 27 février 2009
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FAIRE-PART DE NAISSANCE de Nogan par Murièle
Le fils perça la membrane
Pour chercher le jour.,
Nous le vîmes poindre
Et rayonner : Nogan,
Notre diaphane amour…
jeudi 26 février 2009
PETITE SELECTION D'EXPOSITION "Humour et dérision"
TEUN HOCKS "Sometimes I have an idea immediately, but most of the time I have half-ideas. So I make sketches. Sometimes I’ll look in my sketchbooks and find a drawing that I’d almost forgotten about. So I change something, and then I find I’ve started to make a work. I make a choice that I want to make a drawing into a work if I find I’m intrigued myself.
But I need to draw. I have to draw to think."
1-Le collectionneur 2- Regards sur la peinture contemporaineGILBERT GARCIN
"Je vois les idées comme des soucis, des préoccupations. Je mets en scène mes emmerdements (dit brutalement). Le paradoxe c'est que de ce pessimisme grinçant, s'échappe de la joie."
mercredi 25 février 2009
SORTIE CULTURELLE: Humour et dérision
Février 2009
Je vous invite à aller découvrir cette exposition installée dans l'ancienne bibliothèque du Palais des Arts à Marseille. Mes enfants s'en sont mis plein les mirettes!
"Mais qu'est-ce que l'humour?
Faisons un tour chez Larousse.
Humour: forme d'ironie plaisante, souvent satyrique consistant à souligner avec l'esprit les aspects drôles ou insolites de la réalité.
Ceci dit, il n'y a pas d'humour sans réalité, objective ou psychique. L'humour n'existerait donc pas tout seul, il lui faudrait un référent auquel se rapporter, auquel se raccrocher. L'humour serait une sorte de parasite qui se nourrirait de l'existant pour se développer et se donner à voir dans des formes les plus diverses.(.../...)En transitant par l'humour, le réel prendrait un autre goût, souvent moins amer, et moins dur à supporter. Comme l'image, l'humour met à distance ce qui, dans la réalité, est insoutenable. "En rire vite pour ne pas pleurer" selon le dicton."
Texte de Bernard Muntaner, extrait du catalogue de l'exposition "Humour et dérision" aux éditions Fondation regards de Provence.
mardi 24 février 2009
LE SITE art-insolite.com
Venez redécouvrir quelques unes de mes œuvres et beaucoup d'autres sur le site art-insolite.com
http://www.art-insolite.com/pageinsolites/insochevreau.htm
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http://www.art-insolite.com/pageinsolites/insochevreau.htm
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POEME Murièle "D'un parapet, notre portrait"
Préalable d’une thérapie
C’est ainsi qu’un trou m’apparaît, plus large que la création.
Me faut-il faire de mes souvenirs un allier moribond
Qui me tiendrait à chaque traversée pieds et poings liés
Et barderait de clichés cléments ma vision démente ?
Cette fosse, me faut-il l’emplir ou la laisser béante
Quitte à n’en voir s’écouler que du temps chapardé ?
Et l’on compte les secondes comme des faux billets.
C’est ce va et vient qui occupe ma vie de trotteuse.
Entre le 12 et le quart, une éternité voyageuse.
Dans le trop plein ou le trop vide, l’on trouve toujours à s’ébattre,
A se dérégler, sans penser qu’un lendemain d’albâtre
Puisse jamais rendre conscient ce que nos peurs enfantent.
Lorsque les 12 coups sonnent, là je m’étonne, d’être vivante.
Pour le reste, je suis ce trou qui ne cesse de croître en stupeur
A la rattrape de ses origines, fussent-elles encore dans l’orifice. J’ai peur.
Se souvenir pour ne pas refaire les mêmes erreurs, les mêmes erreurs ?
S’épancher sur les longueurs passées à délaver ses pleurs ?
Couler comme le sable étranglé du sablier ? Quelle importance ?
Se souvenir pour saluer l’ancêtre qui tua son ombre cousine ?
Etre choqué quand le pendu nous tire la langue en révérence ?
J’ai froid dans le dos. Son doigt m’assassine.
Se souvenir pour cueillir l’aubépine aux fronts des Jésus,
En verser les sangs mêlés dans la coupe trop pleine
Et abreuver nos mémoires de pensées obscènes ?
Se souvenir deux fois plus lorsque l’on a trop bu.
L’Homme ne se souvient pas. Il piétine son Moi qui s’émiette.
Il égalise, il délimite, il poussetoidlàquejmymette,
Il écrit, il invente, il gère, il idéalise, trop tard il regrette,
Il prétend, il croit, il décroit, il se complait, il espère grandir,
Il lui arrive même d’analyser son lui-même, de ressentir,
De s’auto retourner, de comprendre, de penser, de dire,
Mais l’Homme ne se souvient pas. Il soupire, mais rien au monde
N’aidera sa mémoire à dépasser la seconde,
Ni sa manman qui le gronde, ni même sa faconde.
Il apprivoise un regard sans relief et une tenue en laisse
Qui ne laisse aboyer que les morts et leurs héritiers.
C’est dire si le silence est râpeux et si l’âme s’affaisse
Lorsqu’il ne nous reste que l’écuelle de nos crânes à lécher.
Mais il est toujours une larme aux reflets de cristal
Un espoir qui oublie de sécher sur la margelle du puits
Et attire la pie Ying Yang qui s’en régale.
C’est mon heure : la trotteuse trébuche et va mourant
Sous son cadran cercueil qui fut un temps son carcan.
C’est ainsi que la mort est une grande amnésie aux yeux de ceux qui ne croient.
Pour les autres, elle est un trou de mémoire entre l’avant et l’après.
J’emporterais bien mes bas de laine et mon Opinel, ma myrrhe et ma croix
Si là-bas il nous faut encore survivre et contempler d’un parapet
Notre effroyable humanité qu’un créateur signa et baptisa «Autoportrait».
Murièle
C’est ainsi qu’un trou m’apparaît, plus large que la création.
Me faut-il faire de mes souvenirs un allier moribond
Qui me tiendrait à chaque traversée pieds et poings liés
Et barderait de clichés cléments ma vision démente ?
Cette fosse, me faut-il l’emplir ou la laisser béante
Quitte à n’en voir s’écouler que du temps chapardé ?
Et l’on compte les secondes comme des faux billets.
C’est ce va et vient qui occupe ma vie de trotteuse.
Entre le 12 et le quart, une éternité voyageuse.
Dans le trop plein ou le trop vide, l’on trouve toujours à s’ébattre,
A se dérégler, sans penser qu’un lendemain d’albâtre
Puisse jamais rendre conscient ce que nos peurs enfantent.
Lorsque les 12 coups sonnent, là je m’étonne, d’être vivante.
Pour le reste, je suis ce trou qui ne cesse de croître en stupeur
A la rattrape de ses origines, fussent-elles encore dans l’orifice. J’ai peur.
Se souvenir pour ne pas refaire les mêmes erreurs, les mêmes erreurs ?
S’épancher sur les longueurs passées à délaver ses pleurs ?
Couler comme le sable étranglé du sablier ? Quelle importance ?
Se souvenir pour saluer l’ancêtre qui tua son ombre cousine ?
Etre choqué quand le pendu nous tire la langue en révérence ?
J’ai froid dans le dos. Son doigt m’assassine.
Se souvenir pour cueillir l’aubépine aux fronts des Jésus,
En verser les sangs mêlés dans la coupe trop pleine
Et abreuver nos mémoires de pensées obscènes ?
Se souvenir deux fois plus lorsque l’on a trop bu.
L’Homme ne se souvient pas. Il piétine son Moi qui s’émiette.
Il égalise, il délimite, il poussetoidlàquejmymette,
Il écrit, il invente, il gère, il idéalise, trop tard il regrette,
Il prétend, il croit, il décroit, il se complait, il espère grandir,
Il lui arrive même d’analyser son lui-même, de ressentir,
De s’auto retourner, de comprendre, de penser, de dire,
Mais l’Homme ne se souvient pas. Il soupire, mais rien au monde
N’aidera sa mémoire à dépasser la seconde,
Ni sa manman qui le gronde, ni même sa faconde.
Il apprivoise un regard sans relief et une tenue en laisse
Qui ne laisse aboyer que les morts et leurs héritiers.
C’est dire si le silence est râpeux et si l’âme s’affaisse
Lorsqu’il ne nous reste que l’écuelle de nos crânes à lécher.
Mais il est toujours une larme aux reflets de cristal
Un espoir qui oublie de sécher sur la margelle du puits
Et attire la pie Ying Yang qui s’en régale.
C’est mon heure : la trotteuse trébuche et va mourant
Sous son cadran cercueil qui fut un temps son carcan.
C’est ainsi que la mort est une grande amnésie aux yeux de ceux qui ne croient.
Pour les autres, elle est un trou de mémoire entre l’avant et l’après.
J’emporterais bien mes bas de laine et mon Opinel, ma myrrhe et ma croix
Si là-bas il nous faut encore survivre et contempler d’un parapet
Notre effroyable humanité qu’un créateur signa et baptisa «Autoportrait».
Murièle
DETAILS AUTOPORTRAIT (diaporama)
MURIELE
LE PERE
FIGURES MATERNELLEShttp://www.slideshare.net/illuminart/autoportrait-art-musique
Cliquez sur le lien pour lire le diaporama
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lundi 23 février 2009
UNE OEUVRE DE MURIELE "One day, one stone"
Autoportrait, de 0 à 37 ans
Œuvre animée musicalement.
Chaque îlot musical (boîtes à musique)représente une étape de ma vie (lecture de gauche à droite). Objets animés, avez-vous une âme?
Le paysage architectural formant le fond est constitué de membres tatoués: se déconstruire, se désarticuler pour se reconstruire harmonieusement.
Mon visage est lui aussi tatoué, comme à fleur de peau.
Les figures que je porte sur mes épaules représentent les figures emblématiques de mes parents.
Le dernier élément que j'ai posé sur l'édifice, est une pierre en forme de flèche, porteuse d'une mémoire traversant les âges et me tirant vers le haut.
dimanche 15 février 2009
LES BEAUX MOTS 15 février 2009
APOPHTEGME, un
Citation ou belle phrase pleine de bon sens
ANA, un
Recueil de bons mots
AMPHIGOURI, un
GALIMATIAS, un
Discours ou écrit incompréhensible, embrouillé
Citation ou belle phrase pleine de bon sens
ANA, un
Recueil de bons mots
AMPHIGOURI, un
GALIMATIAS, un
Discours ou écrit incompréhensible, embrouillé
GEORGIA RUSSEL: livres sous globes
Je ne peux m'empêcher de faire le parallèle entre les livres sous globes de Georgia Russel et cet extrait du livre de Muriel Barbery "L'élégance du hérisson" qui nous rappelle à la mémoire sacrée d'un temps suspendu.
"Sous le globe chutent les flocons. Devant les yeux de ma mémoire, (.../...) se matérialise la petite boule de verre. (.../...) Je n'avais pas sept ans que je savais déjà que la lente mélopée des petites particules ouatées préfigure ce que ressent le cœur pendant une grande joie. La durée se ralentit et se dilate, le ballet s'éternise dans l'absence de heurts et lorsque le dernier flocon se pose, nous savons que nous avons vécu ce hors-temps qui est la marque des grandes illuminations."
jeudi 12 février 2009
POEME Murièle "Le jus d'encre"
Ce poème veut vous emmener de la page blanche à l'écriture du livre, en empruntant quelques ruisseaux cérébraux.
Goulue, elle boit le goût du sel au coin de l’œil…
Lorsque tout est lu, vécu de son balcon comme du haut de son enfer,
Lors, rien ne lui sert de dire ou de taire
Ce qu’elle vient de cueillir aux nervures de la feuille.
Elle est en bas, en bas de page, l’écueil
Littéraire entre l’aorte et l’artère
Où baigne l’entière connaissance, caractères,
Virgules et langues de vipères, voilés d’un linceul.
Le nombril de sa raison s’oxyde, s’ancrent
Des tâches persistantes. Tel un jus d’encre,
Une intrigue s’ébroue, vogue en marge, se noue.
Un filet de lettres originelles, lourdes
De quintessence, plus sûres que l’api d’où sourdent
Les vers fossiles au trident d’argile et de boue.
Murièle
Goulue, elle boit le goût du sel au coin de l’œil…
Lorsque tout est lu, vécu de son balcon comme du haut de son enfer,
Lors, rien ne lui sert de dire ou de taire
Ce qu’elle vient de cueillir aux nervures de la feuille.
Elle est en bas, en bas de page, l’écueil
Littéraire entre l’aorte et l’artère
Où baigne l’entière connaissance, caractères,
Virgules et langues de vipères, voilés d’un linceul.
Le nombril de sa raison s’oxyde, s’ancrent
Des tâches persistantes. Tel un jus d’encre,
Une intrigue s’ébroue, vogue en marge, se noue.
Un filet de lettres originelles, lourdes
De quintessence, plus sûres que l’api d’où sourdent
Les vers fossiles au trident d’argile et de boue.
Murièle
mercredi 11 février 2009
LES BEAUX MOTS 11 février 2009
EPICANTHUS, un
Repli cutané au coin interne de l’œil (avoir les yeux bridés)
GLABELLE, la
Saillie lisse située entre les deux sourcils
COMMISSURE, la
Point de jonction de certaines parties du corps (la commissure des lèvres)
ZYGOMATIQUE
Qui appartient au zygoma (os de la pommette)
Se dit des muscles qui vont de la pommette à la commissure des lèvres
Repli cutané au coin interne de l’œil (avoir les yeux bridés)
GLABELLE, la
Saillie lisse située entre les deux sourcils
COMMISSURE, la
Point de jonction de certaines parties du corps (la commissure des lèvres)
ZYGOMATIQUE
Qui appartient au zygoma (os de la pommette)
Se dit des muscles qui vont de la pommette à la commissure des lèvres
LA JOCONDE CARICATUREE
Qui veut effacer la quintessence de son sourire?
Où l'âme se niche, les hommes ne trouvent mot pour dire.
Murièle
COMMENT PARLER DE LA JOCONDE AUX ENFANTS
Cliquez pour agrandir les images
Extraits tirés du livre "Comment parler du Louvre aux enfants" d'Isabelle Bonithon Courant aux éditions Le Baron Perché
OEUVRES DE MURIELE EN VENTE?
Plusieurs personnes m'ont demandé à acquérir certaines des œuvres que j'avais mises en ligne.
Cela ne se peut; elles sont déjà entre les mains d'anciens acquéreurs.
En revanche, je peux créer une œuvre qui vous sera entièrement consacrée, à vous ou à un proche.
Il suffit que nous nous rencontrions et échangions quelques mots. Je vous aiderai à exprimer ce qui vous tient à cœur. Parfois, un mot, une photo, un objet, une musique, un sentiment peuvent suffire.
Osez vous confier...
Par œuvre personnifiée, j'entends un tableau, un objet customisé, un livre illustré, un recueil de poésie. L'éventail est large.
J'ai aussi grand plaisir à vous aider à créer vous-même votre œuvre. Vous ne vous en sentez pas capable? Je relève le défi, qu'il s'agisse d'un adulte ou d'un enfant. La réalisation d'une œuvre collective est tout aussi motivante. Vous rêvez d'un tableau où votre couple ou votre famille aurait mis sa touche personnelle? Je suis là pour que cela devienne possible.
Le tarif ne doit pas être un frein à vos envies, c'est le plaisir qui compte avant tout.
C'est pourquoi je suis prête à étudier toute proposition.
A vos pinceaux!
Cela ne se peut; elles sont déjà entre les mains d'anciens acquéreurs.
En revanche, je peux créer une œuvre qui vous sera entièrement consacrée, à vous ou à un proche.
Il suffit que nous nous rencontrions et échangions quelques mots. Je vous aiderai à exprimer ce qui vous tient à cœur. Parfois, un mot, une photo, un objet, une musique, un sentiment peuvent suffire.
Osez vous confier...
Par œuvre personnifiée, j'entends un tableau, un objet customisé, un livre illustré, un recueil de poésie. L'éventail est large.
J'ai aussi grand plaisir à vous aider à créer vous-même votre œuvre. Vous ne vous en sentez pas capable? Je relève le défi, qu'il s'agisse d'un adulte ou d'un enfant. La réalisation d'une œuvre collective est tout aussi motivante. Vous rêvez d'un tableau où votre couple ou votre famille aurait mis sa touche personnelle? Je suis là pour que cela devienne possible.
Le tarif ne doit pas être un frein à vos envies, c'est le plaisir qui compte avant tout.
C'est pourquoi je suis prête à étudier toute proposition.
A vos pinceaux!
UNE OEUVRE DE MURIELLE: Vague à l'âme
Partir des origines, d'un désordre sophistiqué -à gauche- vers une harmonie bien rangée dont l'apparence semble claquemurer le chaos -à droite- puis sortir la tête hors de l'eau, hors de soi, en empreintant cette échelle qui mène vers le haut, la réalité cachée, l'envol du beau...
Murièle
dimanche 8 février 2009
ALBUM POUR ENFANTS: "Chip veut un chien" de William Wegman
Je vous recommande ce livre avec ferveur. Chip, reprend du poil de la bête et apprend à s'accepter tel qu'il est, en chien.
WILLIAM WEGMAN: photos d'art de chiens
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Voici une série de 3 photos qui ont du chien, un certain mordant satirique sur notre vision anthropomorphique...
LES REBECCAS, association de parents d'enfants sourds: annonce semaine de l'Art sur le thème de la photo
Cliquez sur l'image pour l'agrandir.
samedi 7 février 2009
BALLONS SCULPTES: le chien
ART VISUEL A L'ECOLE.
Ce chien en ballon sculpté est très simple à réaliser avec des enfants.
On peut ensuite l'enrubanner de plusieurs couches de bandes de papier journal collées avec de la colle à papier peint, on attend que ça sèche, puis on perce le ballon.
C'est la quantité qui fait la différence. On peut alors emboiter à la manière de Escher tous ces chiens que l'on aura peints pour réaliser une sculpture géante.
L'installation peut bien-sûr se poursuivre en suspendant des mobiles.
Ne pas manquer de leur montrer la sculpture géante de Jeff Koons.
vendredi 6 février 2009
JEFF KOONS
Lors d'une sortie au château de Versailles.
Une sculpture géante de Jeff Koons.
Nous nous sommes retrouvés à regarder ce chien bibendum en métal avec un regard d'enfant, fascinés par la ressemblance avec de vrais ballons sculptables.L'échelle proposée nous a téléporté dans un univers où nous étions des lilliputiens.
UNE OEUVRE DE MURIELE: The One
Cyrille et One, sa chienne dogue de Bordeaux.
Leur communication se fait à fleur de peau.
-tatouages dans les bulles-
Murièle
jeudi 5 février 2009
MES ELEVES SONT DES ARTISTES: la caresse de la plume
La douceur d'une plume sur la page blanche...
Peinture à l'encre, Petite Section
ALPHABETS D'ART
Image 1:photos prises dans la ville...Tiré de l'ouvrage "Alphabetville" de Stephen T. Johnson.
Image 2:L'alphabet et les chiffres sur des ailes de papillons...alors qui inventa l'alphabet? Les Phéniciens ou les papillons?
Invention de l'alphabet
L’écriture cunéiforme, les hiéroglyphes ou les caractères chinois ont en commun de transcrire des mots ou des syllabes, ce qui nécessite un grand nombre de signes ou de caractères (1000 caractères chinois, quelques centaines d’hiéroglyphes, six cents signes cunéiformes).
L’invention de l’alphabet, mille ans av. J.-C., par les Phéniciens, marins et marchands qui courent les mers, fut décisive : il leur suffit, pour tout écrire, de 22 lettres, signes retrouvés sur des fragments d’argile et probablement tirés de transformations successives de l’écriture démotique de l’ancienne Egypte. Il ne comporte que des « consonnes » (c’est-à-dire des phonèmes qui ne « sonnent », ne se font entendre qu’avec des voyelles), ce qui est le propre des langues sémitiques telles que l’hébreu et l’arabe.
Vers le VIIIe siècle av. J.-C., on trouve dans le pays d’Aram (la Syrie actuelle) un alphabet araméen qui dérive de l’alphabet phénicien. Les écritures arabe et hébraïque, encore en usage aujourd’hui puisent aux mêmes sources.
LES BEAUX MOTS 5 février 2009
FULIGINEUX
Noir comme la suie, sombre, obscur
Par extension, un raisonnement fuligineux est le contraire d’un raisonnement clair, limpide
MELLIFLU
Qui a la douceur du miel
mercredi 4 février 2009
UNE OEUVRE DE MURIELE: L'Amitié donne des ailes
Pour mes 36 ans, j'avais demandé à mes amis chers qu'ils choisissent un objet sensé les représenter parmi un éventail de babioles que je leur présentai, et d'en expliquer le choix.Je les ai tous assemblés afin de réaliser ce tableau sur le thème de l'Amitié.
De cette union est né un personnage se laissant porter dans les airs au rythme du temps qui passe -les montres à gousset en guise de pieds- aux jambes et aux bras miroitante -comme autant de facettes symbolisant la richesse de chacun et nous permettant d'avancer, de donner et de recevoir- au sexe et au ventre ronds et fertiles, sièges des échanges vitaux, au cœur ovoïde -représenté par une boîte rempli de petits trésors, de petits moments de joie- à la tête couronnée par la chance d'avoir pu faire de belles rencontres -fer à cheval-.
Merci, merci à mes amis!
UN OBJET CUSTOMISE DE MURIELE: le coquillage de Nogan
Ce coquillage a l'air semblable à tous les autres et pourtant,posé sur l'oreille de mon fils Nogan alors vierge de tout élan poétique,
il parvint à lui murmurer quelques vers océaniques.
Je vous invite à relire son "poémignon" avec le regard neuf de l'enfant que vous n'avez pas oublié d'être.
Dans ma classe, j'utilise aussi ce truchement pour faire parler les enfants sur des thèmes intimes qu'ils n'exprimeraient pas sur d'autres moments de langage plus formels.
Chers collègues, essayez seulement et vous verrez qu'une réelle qualité d'écoute nait alors.
mardi 3 février 2009
lundi 2 février 2009
UNE OEUVRE DE MURIELE: Le livre de Janelle
http://www.slideshare.net/share/blogspot/981719
Suivez le lien et vous découvrirez le livre que j'avais écrit et illustré pour ma fille Janelle alors âgée de 4 ans, afin qu'elle surmonte sa peur à l'égard d'un de ses camarades de classe qui ne savait s'exprimer qu'au travers de la violence physique et verbale.
Il s'agit là d'un plaidoyer sur l'estime de soi et la communication non violente.
Suivez le lien et vous découvrirez le livre que j'avais écrit et illustré pour ma fille Janelle alors âgée de 4 ans, afin qu'elle surmonte sa peur à l'égard d'un de ses camarades de classe qui ne savait s'exprimer qu'au travers de la violence physique et verbale.
Il s'agit là d'un plaidoyer sur l'estime de soi et la communication non violente.
dimanche 1 février 2009
PETIT PROPOS SANS QUIPROQUO: l'Art
L'Art:
Le noyau, la pulpe, la peau,
L'éphémère du sur-beau,
Puis le germe à nouveau.
Murièle
Le noyau, la pulpe, la peau,
L'éphémère du sur-beau,
Puis le germe à nouveau.
Murièle
SYMBOLIQUE DU JAUNE
Photo: laine cardée
Dans la symbolique, en Occident, le jaune est associé à la richesse, au père.
L'origine de cette symbolique réside dans le fait que le jaune est la couleur de l'or et du soleil, par extension il est associé à la joie, la bonne humeur, l'idéalisme.
L'autre côté de la médaille : le jaune désigne également les traîtres, les faussaires, les femmes adultères et les fous.
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