Il est minuit passé, l'heure où tous les chats ne sont pas gris puisque je rayonne.
Mon émotion vient de se poser sur le dernier point de la dernière page du livre de Muriel Barbery "L'élégance du hérisson". Là où son histoire s'arrête, elle revit en moi et ravive ce que j'avais cru perdu. Mais non, ce n'était qu'un égarement. Me revoilà à nouveau plongée dans la beauté d'un indicible mouvement, celui du point qui se délite en suspensions...
Ceci est ma supplique: allez prendre ce thé avec Renée et Kakuro.
Quant à Paloma, tu es la fille que j'abrite en moi.
Murièle
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